Juyeon KIM Photographe, juillet 2010, Espace 7 Parnassiens
J'expose à partir de demain, dans une exposition de groupe, mon sujet sur les traces de la matière.
Photographie | Espace 7 Parnassiens, 6 Rue Delambre 75014 Paris France. http://www.photographie.com/?cmpid=117737&secid=1
Exposition Espace 7 parnassiens.
Juyeon KIM AUTEUR PHOTOGRAPHE D' ART Professionnelle exposition à l' espace 7 parnassiens Paris Montparnasse France
Juyeon Kim Auteur photographe Professionnelle, elle expose dans une exposition de groupe une série sur les devantures des restaurants de Séoul.
vous êtes bienvenu.
Photographie | Espace 7 Parnassiens, 6 Rue Delambre 75014 Paris France. http://www.photographie.com/?cmpid=117737&secid=1
Exposition mois de juillet-Aout 2009 Espace 7 parnassiens.
Auteur Photographe juyeon Bibliographie Biographie d'une Ville cheminée Juyeon Kim art Artiste
FRONTIERE DE LA VILLE: Bibliographie Biographie
Les humains ont la nécessité de construire des immeubles pour y vivre, paysages de pierres. Ces architectures forment une ligne au loin faisant le lien avec le ciel.
Preuve de l’existence des hommes dans cet espace défini des villes.
Tandis que les nuages et la mer toujours en mouvements forment la nature brute depuis la nuit des temps, avant et après l’humanité.
Cette coexistence singulière finalement nous ne la voyons plus vraiment, il faut donc la réactiver, la révéler encore et encore à nos yeux.
Cette vie ensemble entre nous et la nature est essentielle .
Juyeon KIM, Décalages horaires, artiste photographe Paris, MAC de Créteil, maison des arts et de la culture André Malraux de Cré
« Le temps, l’espace, plus rien n’existait depuis ce chemin de terre que j’avais emprunté, marché longuement au travers prairies et rivières où les enfants jouent au soleil. Je me souvenais alors de ces nuits magiques dans les rues chaudes de Séoul, au milieu des boutiques illuminées.
Aujourd’hui j’habite dans cette capitale européenne froide et rationnelle, qui me parle de la vie de tous ces gens partout dans le monde, croisant comme des navires fantômes au milieu des déserts urbains automatiques, dans le tumulte des espaces glacés des transports en commun tagués et des machines tordues, exsangues».
Tel un reportage KIM ju yeon a choisi de nous présenter à sa manière, la transition d’une frontière méconnue, Corée du Sud et Corée du Nord, la première par les vitrines nocturnes, joyeuses d’une Séoul vivante, active et moderne, la seconde souriante mais factice, en effet un écran de télévision barre cette apparente joie, calculée, comme une leçon apprise par cœur, organisée par une dictature bien enracinée. La télévision en bois à elle seule symbolise la Corée du Nord statufiée en 1970, comme un pont entre ces deux mondes maintenant éloignés. Avec ses tirages noirs et blancs le photographe élabore ses compositions au graphisme fin, et imprime en nous une étrange sensation théâtrale du monde.